FI_20200301

FI
FINANCE ET INVESTISSEMENT
LE JOURNAL DES PROFESSIONNELS DU PLACEMENT
MARS 2020 | 28 PAGES
REGROUPEMENT SSQ — LA CAPITALE
Une fusion bien accueillie
PHOTO : MARTIN LAPRISE
ÀL’AFFICHE L’agentgénéralFinancièreS_Entielasubiune cure de jouvence depuis que Dominic Demers, 42 ans, en est devenu président et propriétaire, en 2012. «Depuis, notre chiffre d’affaires affiche une hausse annuelle d’au moins 13%», dit-il. À lire en page 4.
DANS CE NUMÉRO
NOUVELLES DISTRIBUTION La métamor-
phose d’un cabinet. Page 9
FCP Structure novatrice et fiscalement avantageuse. Page 10
PRODUITS ET ASSURANCE
SECTEUR L’Asie pourrait mieux performer que les États-Unis. Page 12
ASSURANCE Grand potentiel de ventes d’AMG. Page 16
ÉCONOMIE ET RECHERCHE
GESTION D’ACTIFS Difficile de battre les indices. Page 17
RETRAITE Les rentes peuvent être pertinentes. Page 17
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES
FISCALITÉ Emprunter pour investir dans un fonds de série T. Page 18
MA PRATIQUE Les conseils de Léon Lemoine à la relève. Page 19
TECHNOLOGIES FINANCIÈRES
TENDANCES Répondre aux attentes des clients. Page 22
AMF Rester à l’affût. Pages 22 et 25
RÈGLES Nouvelles exigences en matière de protection des données personnelles. Page 24
ÉDITORIAL ET ANALYSES
CFA Pertinentes réformes axées sur le client. Page 26
EN IMAGES pages 20 et 21
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PAR JEAN-FRANÇOIS BARBE
annoncée à la surprise
générale, la fusion entre SSQ Assurance et La Capitale Assurance et services financiers suscite une envolée de réactions approbatrices. Cependant, même si l’union des deux mutuelles en- gendrera un grand assureur qué- bécois, personne ne lui fera de cadeaux.
«Afin d’être compétitif, il y avait intérêt à unir des forces qui sont d’ailleurs complémentaires. La ré- gion de Québec aura un grand siège social. Dans le cadre du pro- cessus de consolidation, on a déjà vu des sièges sociaux être délocali- sés en Ontario. On ne retrouvera pas cela avec cette fusion», résume Isabelle Larouche, professeure à l’École d’actuariat de l’Université Laval.
RÉGIMES DE RETRAITE PUBLICS
Éloquentes évaluations
PAR DANIEL LAVERDIÈRE*
le rééquilibrage ajoute
de la valeur aux portefeuilles et il est très peu probable qu’un por- tefeuille composé d’une moitié d’actions et d’une moitié d’obli- gations perde plus de 10 % sur une période de trois ans.
Ce sont deux des constats qui se dégagent de l’analyse du finan- cement du Régime de pensions du Canada (RPC) et du Régime de rentes du Québec (RRQ). Les conseillers en placement peuvent
> RÉGIMES SUITE PAGE 2
Dans le secteur de la distribution, les commentaires sont louangeurs.
«C’est une très bonne nouvelle pour l’industrie québécoise de l’as- surance. Nous avons un acteur plus important qui se dote d’une plus forte capacité à s’imposer dans le marché pancanadien», affirme Yan Charbonneau, président-directeur général d’AFL Groupe Financier.
«Deux joueurs moyens qui fu- sionnent donnent un grand joueur. En principe, les forces de chacun combleront les faiblesses exis- tantes », dit Daniel Guillemette, président du cabinet Diversico Finances humaines.
Voilà qui rejoint les propos de Jean-François Chalifoux, président-directeur général de SSQ, tenus lors de l’annonce du projet de fusion, en janvier dernier. « Nous avons les mêmes défis, la même volonté de nous
> REGROUPEMENT SUITE PAGE 6 NÉGOCIATION
D’UN FNB
Noter la date ex-dividende
PAR YVES GINGRAS
il y a certaines journées
où il serait préférable de ne pas acheter ou vendre des parts d’un fonds négocié en Bourse (FNB), Dépendamment de la situation personnelle du client. En effet, entre autres pour des raisons fiscales, un conseiller devrait considérer les subtilités liées aux dates de négociations impor- tantes après qu’un FNB aura an- noncé son intention de distribuer un dividende ou un paiement
> NÉGOCIATION SUITE PAGE 9
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