Page 7 - Newcom
P. 7

                                                                                                                                                                              ÉCOBLANCHIMENT OU PAS ?
 « Il n’y a rien dans la Loi sur les valeurs mobilières ni dans les règlements qui définisse la notion d’ESG ou d’investissement socialement responsable. » – Sylvain Théberge
L’exposition aux énergies fossiles a été réduite d’envi- ron 40% ces dernières années. Desjardins a notamment beaucoup désinvesti le secteur du charbon. Mais il lui reste certains placements dans ce domaine.
«Les entreprises qui demeurent sont celles avec les- quelles nous avons un dialogue sur l’amélioration de leurs pratiques et leur gestion des risques, poursuit Denis Dion. Quand on investit, on a une influence que l’on perd en quit- tant complètement un secteur.»
Les grands investisseurs se butent à d’autres problèmes lorsque vient le temps de développer des fonds d’investissement responsable. Ils peinent souvent à trouver des occasions d’investissement d’une ampleur assez grande pour leurs moyens, déplore M. Dion.
Il cite en exemple un récent rassemblement d’investisse- ment responsable tenu à Montréal, lors duquel des proposi-
tions étaient présentées à des joueurs d’importance comme Desjardins, la Caisse de dépôt et placement du Québec et des régimes de retraite. La plus importante s’élevait à 12 millions de dollars. Du petit change pour d’aussi grands investisseurs.
Denis Dion rappelle aussi que la réglementation en valeurs mobilières leur interdit d’investir dans des titres non cotés en Bourse. Desjardins ne peut pas non plus détenir plus de 10% du capital d’une entreprise. Tout cela vient réduire les possibilités.
L’exclusion n’est pas la seule option
Les investisseurs ont tendance à réduire les produits d’investissement responsable aux fonds qui excluent d’office certains
secteurs. Or, il existe plusieurs démarches différentes.
    Daisy Cheung Conseillère financière Unionville, Ontario
 ON N’ATTEINT PAS
UN SIÈCLE DE CROISSANCE INTERNE
EN PRIVILÉGIANT LA CHASSE AUX RÉSULTATS TRIMESTRIELS.
Chez Edward Jones, nous sommes conscients que la réussite à long terme n’est pas fondée sur la pensée à court terme. Nos représentants en services financiers sont libres de recommander des solutions fondées sur les besoins uniques de leurs clients, et non sur des quotas de la firme, ce qui signifie qu’ils peuvent bâtir leur clientèle de la bonne manière : en misant sur leurs clients. Découvrez le Edward Jones actuel.
Personne ressource : Gabriel Leclerc, Conseiller financier
Ligne directe : (613) 622-5996 | gabriel.leclerc@edwardjones.com
Edward Jones souscrit au principe de l’égalité en matière d’accès à l’emploi et est déterminée à promouvoir une culture d’intégration. Nous croyons que la diversité des idées, des points de vue et des perspectives favorise la croissance de l’entreprise.
            Au Québec, nos conseillers sont désignés sous le nom de conseillers en investissement.
  200564_EDJ_FR_UnSiecleDeCroissance_Conseiller_DAISY_8x5.22_v5.indd 1 1/22/20 10:37 AM
 













































































   5   6   7   8   9